Christine DEVIERS JONCOUR
IN SILICO
La Cité des Abysses
IN SILICO
La cité des abysses
Que faire quand la vie ne se limite qu’à l’obscurité et les méandres inhumains de la cité d’Insilico ? Le rêve serait-il l’unique échappatoire ?
« Le rêve est une seconde vie, disait Gérard de Nerval. Je n’ai jamais pu percer sans frémir ces portes d’ivoire et de corne qui nous séparent du monde invisible »
Dans ce roman, Christine Deviers Joncour nous fait franchir ces portes avec « des mots qui arrivent alors que l'on ne les attend pas, ses mots qui parlent et qui peignent la vie, ses mots qui pleurent, qui aiment aussi. Des mots de guerre et de naissance, des mots d’amour et de tristesse. Des mots qui cassent et reconstruisent, ceux de l’ombre et du soleil. Ceux de la vie ! »
Et tout au long de l’histoire on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité mais à la condition d’en ignorer la nature.
Entre ces deux mondes un homme et une femme vont s’aimer et souffrir aussi.
https://livre.fnac.com/a17006710/Christine-Deviers-Joncour-In-silico
Extrait chapitre 1
Voix de l'auteur
Extrait chapitre 2
Voix de l'auteur
Trois derniers romans
...Ici, dans ce Périgord Noir de mes ancêtres, mes racines sont profondes mais dans le tourbillon de la vie et le dédale de soucis, je me suis éloignée à en perdre mon âme. Le temps était venu pour moi de retrouver les saisons de mon enfance et ce cycle ininterrompu, les printemps des perce-neige et des timides violettes, des pervenches et des roses et des papillons multicolores ivres de joie, les couleurs de l’automne, adossée à ce chêne centenaire, au tronc noueux, fier et droit, qui n’a jamais ployé.
BIS REPETITA/2017
EXTRAIT:
"Le paysage derrière les vitres semblait aujourd’hui inaccessible, lointain et interdit.
Tout ici devenait étriqué et stérile.
Elle tournait en rond, le souffle court et butait contres les parois. Et toujours ce regard posé sur elle, épiant le moindre de ses gestes ou expressions.
Ce n’était plus un regard d’amour, maintenant elle en était certaine.
Comment un homme peut-il changer de cette manière, pensait-elle. Comment l’ange des débuts avec ce regard humide et tendre d’homme amoureux peut-il se transformer ainsi. Qu’ai-je pu faire de mal, de maladroit pour le changer si profondément. Je suis pourtant la même femme.
Je crains de sombrer dans le désamour...."
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